Bonjour à tous mes poulets ! Aujourd’hui, parlons du pardon. Parce que comme chaque année, je déclare ouverte la gratitude WEEK ! Sauf qu’on va parler vrai, et éviter de tomber dans les clichés culpabilisants du genre. Je vais vous apprendre à pardonner aux cons.

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Pratiquer la gratitude et le pardon, autrement, en ne niant pas nos émotions, ni nos blessures. Parce que pardonner aux cons, c'est un art.

En ce jour de thanksgiving aux Etats Unis, je vois passer partout des posts sur la gratitude et le fait de pardonner. Ces posts nous rappellent  à quel point il est important de ne pas rester sur un sentiment négatif. Du coup, j’me suis demandé comment, et surtout pourquoi il pourrait être utile de pardonner aux cons.

Pardonner aux cons, est-ce possible ? En quoi est-ce salvateur ?

Qui n’a jamais connu une trahison ? Qui n’a jamais connu quelqu’un qui lui a fourré un doigt bien profond dans le fondement ?

Avec l’émergence des gilets jaunes qui sillonnent les rues et les ronds points de France pour mettre en lumière à quel point nous sommes floués sur notre pouvoir d’achat, les spéculations et les altercations vont bon train.

On se sent trahis. Trahis par le gouvernement, trahis par les mecs en jaune (Que j’appelle les “Jonathans”) qui nous empêchent d’aller bosser, ou de faire du chiffre d’affaire pour les petites entreprises.

Ce sentiment de trahison réveille de vieilles rancoeurs qu’on avait tenté d’enfouir loin, bien loin dans nos cervelets gauches, pour éviter de trop souffrir.

Sauf que la recrudescence (non pas recrue d’essence, vous l’aurez compris…) des doigts dans le luke commence à se faire sentir un peu trop profond. 

La phrase non moins catho “Pardonnez leur, ils ne savent pas ce qu’ils font”, ne fait plus d’effet.

Parce que s’il y a bien un truc qui caractérise les cons qui insistent, c’est leur certitude.

Ils ont la certitude que ça va passer encore cette fois.

Jusqu’à ce que… Non.

A un moment donné, il se crée un point de bascule, et ce point de bascule est irrémédiable.

Ce point de bascule advient lorsque la douleur n’est plus dissimulable par un “ça va”.

Lorsqu’on se dit au quotidien “Non mais ça va en fait t’inquiète, ça pourrait être pire”… Il se crée un équilibrage.

Cet équilibrage fait en sorte que l’on puisse supporter des situations inconfortables.

Si on se répète que ça va, alors le cerveau y croit.

Le cerveau croit à tout ce qui est répété souvent.

C’est le principe de la pensée positive, aussi communément (et hors contexte spirituel) thérapie cognitive. Et tout son concept est fondé là dessus.

On change les mots, pour qu’ils deviennent positifs, et nous permettent d’être, de cause à effet, plus positifs. De moins ruminer. (Contre les cons, notamment !)

Et on a tous tendance à répondre “ça va” lorsqu’on nous demande des nouvelles, même lorsqu’on se sent comme une merde immonde à l’intérieur. Tout simplement pour éviter de s’expliquer.

Pour éviter de formuler à haute voix qu’on a honte de ne pas aller bien. Ou donner de la matière à quelqu’un qui pourrait éventuellement se servir de notre vulnérabilité.

C’est confort, c’est chaudoudoux, on réfléchit pas trop, ça va.

“Je vais bien tout va bien”, comme le disait Dany Boon.

Comme le cerveau est persuadé que “ça va”, et bien, ça va.

Sauf que quand ça va pas en vrai, ça finit toujours par se savoir.

Le mensonge prend l’ascenseur, la vérité prend l’escalier, mais finit toujours par arriver.

Et on a beau se persuader d’une situation qu’elle est “ok”, ou bien d’une personne que “ce comportement est un fait exceptionnel, il ne va pas le refaire”, ou encore “Non, mais c’était inconscient”…

Pour essayer de minimiser la douleur qui accompagne “les actes manqués” pas si manqués que ça, il n’en reste pas moins que la colère intérieure, à l’insue de notre plein gré, grandit.

ça gonfle, ça gonfle, les cons nous gonflent… Et on explose comme un ballon de baudruche gonflé à l’hélium qui veut tout défoncer sur son passage.

On finit toujours par ouvrir les yeux.

Et quand on ouvre les yeux, on se rend compte de certaines choses, qu’on avait occultées.

On se rend compte qu’on l’avait vu venir, ce con.

Et on commence à se culpabiliser d’avoir fermé les yeux.

C’est là qu’arrivent les gilets jaunes !

ça nous pète à la gueule… “On a laissé faire ça ? Nous !? Mais pourtant, on est supposé pas être aussi cons !”

On est en colère, contre soi-même.

Parce qu’à con, con et demi… On se souvient à quel point on avait anticipé le bordel, et combien on a été nous même cons de ne pas porter d’importance aux signes avant coureurs. Ceux qui crient dans les profondeurs de nos entrailles de bide.

J’veux dire par là, qu’on sait que le gouvernement est à côté de la plaque avec ses taxes supposées être pour sauver la planète. On sait que bidule va nous la mettre profond.

On sait que Machine va baver dans notre dos. Qu’elle va monter le bourrichon de Ginette et Michou, parce qu’elle est jalouse de je ne sais quoi. On sait que Michou est crédule et qu’il va y croire.

On sait que Tartempion aime le pognon et qu’il privilégie le business à l’amitié.

Nous savons aussi que Truc brigue le poste qu’on convoite, ou qu’il aimerait bien se taper une autre femme que la sienne. (La nôtre ?!?)

Loin de moi l’idée de vous rendre paranos mes poulets, mais c’est un fait…

La connerie existe. Nous n’avons pas d’autre solution que de l’intégrer, d’en faire une donnée connue, afin de lui pardonner son existence.

Plus on est conscient que la connerie existe et qu’elle peut s’immiscer partout, plus il devient facile de la comprendre pour pouvoir la pardonner.

On comprend les bas fonds des tréfonds du pourquoi elle est là, et on peut arriver à surfer entre ses gouttes acides.

Déjà, essayer de ne pas être trop con soi-même. C’est un premier point.

Essayer du mieux qu’on peut, de ne pas jeter d’huile sur le feu. De ne pas utiliser les mêmes codes que les cons qui nous ont offensé.

Ils gagneront toujours, car ils ont plus d’expérience que nous.

“Cela ne sert à rien de jouer aux échecs avec un pigeon, il foutra tout en l’air, chiera sur le plateau, et finira en se pavanant le torse bombé comme s’il avait gagné.”

Le con voyez-vous, a besoin de croire qu’il a gagné. Il va insister jusqu’à avoir cette certitude.

Laissez le faire. Donnez lui l’impression qu’il a gagné.

Sinon, il peut vous pourrir la vie. Longtemps.

Manu Militari, il va se pavaner. Faire le coq. (NDLR, le coq est l’emblème de la France, c’est le seul animal capable de continuer de chanter même les pieds dans la merde, en passant.)

Posez-vous deux secondes et réfléchissez.

(Là, c’est le moment parfait pour vous faire un bon chocolat chaud. J’dis ça, j’dis rien.)

Si votre force à vous n’est pas la connerie, alors quelle est t’elle ?

Quelle est la force en vous, qui fait que vous êtes doué, et qui va vous permettre de permuter en vous, le sentiment d’avoir “perdu” face à tant de connerie ?

Êtes-vous doué en karaté ?

(La violence n’est pas une option, j’vous le dis tout de suite ! C’est un piège, que j’ai inséré là car je suis une coach diabolique, ne tombez pas dedans !)

êtes-vous comme Han Solo, un as de la paraphrase qui peut retourner chaque situation à son avantage ?

Êtes-vous doué de capacités d’adaptation hors normes ?

Êtes-vous doué en auto-dérision, et en optimisme ?

Les deux dernières solutions sont les meilleures. Il faut donc les combiner.

Adaptez-vous. Vous n’êtes pas un arbre, vous pouvez bouger. Eloignez-vous des personnes toxiques, et swinguez sur d’autres vibes.

Vous pouvez vous pardonner à vous même d’avoir été con et de ne rien avoir vu, ou de ne pas vous être écouté, et évoluer. En vous éloignant, vous serez moins cons.

Vous êtes un Pokemon. Vous évoluez parce que vous êtes en constant entraînement, et que vous apprenez. Chaque expérience vous rend plus fort.

“Ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort”, dixit Kelly Clarkson. (Elle l’a pompé, je sais.)

Ne laissez pas le con qui vous a offensé être au centre de l’histoire que vous vous passez en boucle. Réécrivez là de sorte à ce que vous en soyez le héro.

Ne le laissez pas gagner sur ce terrain là.

C’est vous qui choisissez comment vous organisez les histoires dans vos têtes, et vous aussi qui décidez de mettre le focus, ou non, sur un personnage.

En les mettant au centre, vous confirmez qu’ils ont gagné.

Faites de vous même, le héro.

Chaque héro passe par des moments de doute, de remise en question, de remous qui  fuckent sa force, et tous croisent un “vilain” qui leur chie dans la colle.

On ne fait pas de films sur les vilains. On fait des films sur les héros.

Faut être sacrément con pour faire l’inverse n’est-ce pas ?

Ajoutez de l’humour à vos histoires. Ajouter le petit coup de pep’s qui va vous redonner le sourire. De l’optimisme, de la joie, de la confusion, des sourires qui vous ont soutenu, des moments de partage qui vous ont permis de vous relever. Du bonheur qui a croisé votre route.

Car le pardon, et pardonner, c’est tout ça.

S’offrir à soi, l’opportunité de pardonner, de ne pas rester emprisonné dans une cage de pensées qui ne sont plus la réalité.

Se donner une chance de se libérer. Se libérer soi. Peu importe que la personne à qui on veut à tout prix pardonner s’en sorte ou non, c’est pas votre problème. Vous n’en êtes pas responsables.

Vous êtes responsables de votre propre sort.

Le sort qu’on vous a lancé n’a d’effet que parce que vous lui donnez de l’importance.

Nous ne sommes pas des victimes, nous sommes des survivants.

Et les survivants, petit à petit, comprennent avec quelles armes se battre. Ils s’ajustent, ils changent.

Les cons eux, ne changent pas.

C’est leur faiblesse.

Les gilets jaunes s’organisent, ils s’ajustent, ils changent. Le gouvernement non.

Qui selon vous est le moins con des deux ?

Pardonner, comprendre, ne veut pas dire lâcher.

Si comme moi, vous êtes des jedis, vous apprendrez à vous battre avec vos propres armes. Vous laisserez la rancune aux cons, la colère au côté obscur, et vous allez vous concentrer sur vos possibles.

Que m’est-il possible de faire à mon niveau, pour me prévaloir de la connerie ?

Comment faire en sorte que les cons ne m’atteignent plus ?

Ou en tout cas, comment ne plus leur laisser de prise à laquelle s’accrocher ?

J’ai des milliers d’idées qui me viennent en tête.

Et vous ?

Racontez-moi tout dans les commentaires.

Je vous donne en conclusion la clef.

“Soyez heureux, ça rend les gens dingues.”

Soyez reconnaissants d’être ce que vous êtes mes chéris. Si vous me lisez, et si vous avez lu cet article jusqu’au bout, si vous en avez saisi les subtilités, c’est que dans le fond, vous n’êtes peut être pas si cons.

J’vous aime j’vous kiffe !

@ Bientôt quelque part mes poulets 😉

Si vous voulez aller plus loin, je vous conseille cet article, pour ne plus jamais être victime de harcèlement.

Ps : Oui, cet article est orienté. Doublement. Il anticipe aussi mes prévisions 2019. Elles seront publiées si j’ai réussi à terminer mon bouquin dans les temps. Mais ça me chatouille.

Ps² : Je fais une offre white friday, tout ce week end sur le programme Buddy Body, un acheté, un offert à un pote. Je suis tellement reconnaissante pour toutes les transformations qu’offre ce programme que j’ai envie d’en faire profiter tout le monde. Appelez un-e ami-e et faites moitié moitié, c’est cadeau. (Après ça, on referme les portes pour un an, c’est non négociable !)

Ps3 : Si tu as kiffé cet article et que tu veux participer à mon addiction pour le café en intraveineuse, tu peux m’en offrir un, en cliquant sur cette image, tu seras béni par un Dieu grec aux biscottos bien dessinés dans tes rêves cette nuit.


Alice Kara
Alice Kara

Coach déjantée spécialiste de la vulnérabilité et de l'imparfaititude, je t'aide à comprendre pourquoi c'est le bordel et quoi faire pour y remédier ! (Grâce à de la psycho, des neurosciences et une bonne dose d'humour !) Mes programmes de coaching sont à son image, provocants, délirants, percutants, et drôles.

    8 replies to "Comment et pourquoi pardonner aux cons qui nous ont offensé ? Gratitude week 2018"

    • […] en passant, si vous avez du mal à pardonner aux cons, voici un article que vous pouvez […]

    • Baz art

      Se donner une chance de se liberer soi meme! Je reviens sur cet article car c est pour moi une phrase clé. Je voudrai offrir mon temoignage sur ce sujet. En mars, j ai decidé de liberer mon coeur d un fardeau. Oui j ai decider de pardonner a ma grand mere meme si elle nous a fait souffrir ma mere et moi. J ai ecouter pardonne par hasard de lara fabian et au debut j ai dit non c est trop dur les larmes roulaient sur mes joues. Puis je me suis decidée de rentrer en meditation et de dire d abord en silence toi, je te pardonne tout en revivant chaque situation douloureuse en esprit, puis a haute voix “au nom de jesus et de tout mon coeur toi bidule, je te pardonne” j en ai eu la nausée sur le moment. Bref quand on pardonne vraiment, on rencontre d abord sa douleur et rien d autre. 3 semaines apres ma grand mere est a l hopital je trouve le courage d aller la voir et de la serrer fort dans mes bras. Mon regard a changer “de la peau de vache mechante et accariatre”
      Je n ai vu qu une enfant pleine de fragilité. Je me suis surprise moi meme. L enterrement a eu lieu vendredi et comme par hasard j ai ete designer pour allumer les bougies et lire un texte pour la ceremonie. Si je n avais pas choisi de faire ce chemin de pardon, j aurai refuser de m engager hors cela ne m a poser aucun probleme. Je pense qu elle a vecu assez longtemps pour m offrir l experience de cette grâce, elle m a fait grandir dans son absence d amour. J ai gagné en ouverture du coeur et en serenité. Merci Alice pour cet article

    • amandine

      ouais ben moi pardonner je n’y arrive pas comme ça…
      dernièrement je n’ai pas exprimer ma colère et put*** ce que ça fait mal au plexus!!
      je n’ai rien dit, je n’ai pas été à la confrontation, je me suis même transformée en nana muette, genre tu n’existe pas et ben le con en question ne me dit plus bonjour au taf et comme je m’en fou, cela a l’air de le mettre mal à l’aise. quand au deuxième con, il n’est pas plus à l’aise car je me suis renfermée… il cherche un regard, un sourire, une approbation sur n’importe quel sujet… je suis froide comme jamais!
      je n’ai pas le pardon facile, un jour on m’a demandé pourquoi
      tu as 3 catégorie de personnes qu’on va imager en objet
      la première est en plastique très malléable, tu fais ce que tu veux avec…
      la deuxième est en faïence, tu la casse, tu peux recoller les morceaux il restera l’entaille visible et palpable… on peut encore la manipulé mais on fera gaffe
      la troisième est en matière très rare, tu la casse en deux, tu peux toujours essayer de recoller les morceaux, ce qui te reste dans les mains te pète dans les pattes hum alors tu la laisse en l’état, brisé mais libre de toute manipulation.
      Je fais partie de la troisième catégorie… entière!!! Et je crois que les gens aujourd’hui commencent de plus en plus à rentrer dans la troisième catégorie… la catégorie du “c’est fini les conneries, on reste debout et libre de dire merde sans retour en arrière (plus de plastique malléable juste des diamants qui se mettent à briller devant ceux qui tentent encore mais lol)
      bref je vais relire l’article pour essayer quand même d’instaurer le pardon en moi même…
      j’ai des cours à prendre dans ce domaine

    • Delphine

      Excellent article. Mention spéciale au pigeon qui chie sur le plateau, j’ai éclaté de rire XD

      • Alice Kara

        héhé, je l’adore aussi ! Merci pour ton commentaire !

    • Natacha

      Un article qui dépote! Et juste à point, merci =) Et je ne sais plus de quel livre d’Alexandre Jollien tu m’avais parlé la dernière fois mais j’ai depuis quelques jours dans les mains “sagesse espiègle”. A chaque ligne je me dis que ça pourrait être du Alice Kara! xD Il a craqué son slip et ça fait un bien fou à lire! Comme quand t’écris des gros mots! Une bonne petite dose d’héro’ pour mieux vivre la connerie de l’existence <3

      • Alice Kara

        ? Ça c’est un putain de compliment ! J’adore Alexandre Jollien il est absolument génial !

    • Biche *

      J’aime bien cet article !
      Pardonner parce qu’après quelque chose de mieux nous attend… Même si ça prend du temps, patience ! ?
      S’éloigner, oui. Ne plus participer, oui. J’ai l’impression qu’en 2019, de nombreuses personnes vont devenir de plus en plus autonomes, ne plus rien attendre des politiques, refuser de consommer (pour ceux qui le peuvent encore), choisir des circuits courts pour se nourrir avec des produits bruts. Bref ne plus participer aux modes de consommation antérieurs. Ce sera l’année de la grande désobéissance ! Vous voulez que j’achète ça ? Ben non ! Peut-être même de la vengeance. Et certains ne pourront même plus consommer, complètement “fauchés” donc ce sera système D. Le grand divorce avec nos politiques et ceux qui les influencent même s’ils font tout pour nous donner des obligations afin de nous faire les poches… On ne va pas s’ennuyer… Population plus du tout maîtrisable ! Même si on leur dit ce qu’ils doivent penser ! Il y a de la vengeance dans l’air et il y aura des jusqu’au boutistes… Bref le système commence à se retourner contre lui-même. Ca n’arrange pas nos dirigeants lorsque les gens commencent à réfléchir par eux-mêmes, lorsqu’ils sont cultivés, conscients des mensonges que l’on veut leur faire gober. Et il y a aussi le bon sens populaire qui devrait refaire surface. La croisée des chemins entre ancien système et une nouvelle voie qui se met en place ; agitation… Voici mon humble avis ? J’ai hâte de lire tes prévisions 2019 !

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